Cadrer et prioriser
En préalable de toute démarche d’évaluation, il est important de cadrer la démarche et de définir vos priorités. Cherchez vous à rendre compte d’un effet en particulier ? Pour un public spécifique ? De quels moyens (ressources financières et humaines) disposez-vous ? Avez-vous déjà évalué certaines pratiques liées à la circularité et la sobriété ? Si oui, qu’en retirez-vous ? Quelque soit la raison, n’oubliez pas qu’il n’est pas forcément utile ou nécessaire de tout mesurer !
Favoriser le suivi dans le temps
Les thématiques qui nous intéressent ici (moins consommer, mieux consommer et réduire ses déchets) s’avèrent particulièrement intéressantes à évaluer si l’on peut le faire dans le temps pour constater des évolutions et des améliorations ! Nous vous conseillons ainsi de favoriser un suivi dans le temps de vos actions, quitte à se focaliser sur moins de critères.
Mettre en récit ses chiffres
Les indicateurs sont essentiels pour suivre vos progrès, mais raconter l’histoire derrière les chiffres donne vie à vos actions. Un graphique qui montre que vous avez réduit vos déchets ou des témoignages d’usagers sont autant de manières de valoriser vos pratiques.
Pensez à récolter les données dont vous disposez facilement
En fonction de ce que vous cherchez à évaluer, la récolte de données peut s’avérer plus ou moins complexe. Pensez alors à vous appuyer dans un premier temps sur des données facilement récoltables, à l’exemple des données de facturation qui peuvent vous fournir nombre d’indications intéressantes pour évaluer vos pratiques en faveur de la circularité et de la sobriété (politique d’achat, type de fournisseurs, etc.). Certains tiers-lieux ont recours à des logiciels de facturation qui peuvent rendre la collecte et l’analyse des factures plus souple !
Cet article est publié en